A peine arrivée, je me sens submergée par la foule. Je sens un parfum, une secousse. L'air est chaud, lourd, rempli d'odeurs confuses, difficile a distinguer.Mais un mélange d'urine et de sueur témoigne du dur labeur en cours. Les bruits aussi nous le disent: si l'on écoute aux dessus des bruits de conversations, on perçoit les coups sourds d'un marteau et les claquements secs d'une cisaille. Ma progression sur la place est lente, toutes les personnes présentent semblent dans leurs mondes et en même temps, la foule ne fait qu'un. Dans la même idée, tout le monde est différents tout en étant les mêmes. Je croise un musicien, un ouvrier et tant d'autres. Rien que sur cette place, je retrouve des personnes et des animaux de tout les pays. Ce nouveau monde est un monde de mélanges: cultures, animaux, métiers, saveurs et couleurs. Les couleurs sont partout, si je plisse les yeux, je ne vois plus que des taches de couleurs. Un monde ou tout semble unique, sortant du lot, et à la fois ne semble faire qu'un, un monde pareil peut-il exister ?
Le monde des mélanges
A peine arrivée, je me sens submergée par la foule. Je sens un parfum, une secousse. L'air est chaud, lourd, rempli d'odeurs confuses, difficile a distinguer.Mais un mélange d'urine et de sueur témoigne du dur labeur en cours. Les bruits aussi nous le disent: si l'on écoute aux dessus des bruits de conversations, on perçoit les coups sourds d'un marteau et les claquements secs d'une cisaille. Ma progression sur la place est lente, toutes les personnes présentent semblent dans leurs mondes et en même temps, la foule ne fait qu'un. Dans la même idée, tout le monde est différents tout en étant les mêmes. Je croise un musicien, un ouvrier et tant d'autres. Rien que sur cette place, je retrouve des personnes et des animaux de tout les pays. Ce nouveau monde est un monde de mélanges: cultures, animaux, métiers, saveurs et couleurs. Les couleurs sont partout, si je plisse les yeux, je ne vois plus que des taches de couleurs. Un monde ou tout semble unique, sortant du lot, et à la fois ne semble faire qu'un, un monde pareil peut-il exister ?
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Journal de bord:
C'est le deuxième jour de notre expédition. Nous sommes actuellement entourés des pics rocheux et montagneux de cet étrange univers. Ici, tout est calme et paisible. Il y a un beau soleil qui brille dans le ciel. Et là un âne, en tous cas on en dirait un. J'ai l'impression qu'il est seul au milieu de ces montagnes. Mais en fait, tant que j 'y pense, où sommes nous ? En toute logique nous devions avoir atterri sur la Lune, qui étais notre objectif. Mais apparemment non puisque je la voit en ce moment même. Mais où pouvons-nous bien être ? Continuons à explorer pour le découvrir... Jour 5. Il nous aura fallu 3 jours pour trouver un endroit qui nous semble plus ou moins sûr. Et là que vois-je ? L’inconnu habite à côté.
Ce mur, Madi passait tous les jours devant. Ce mur gris, rempli d’écritures illisibles. Elle n’avait aucune idée de ce que cela pouvait représenter. Mais on lui avait souvent dit que, derrière ce mur, se cachait un autre monde. Jamais personne ne l’avait vu et les gens étant passés par-dessus n’étaient jamais revenus pour raconter ce qu’ils avaient vu. Madi elle était curieuse et voulait découvrir le monde. « Et pourquoi pas ce monde ? » s’était-elle dit. Et la voilà qui était là, en haut du mur, entre ces deux mondes. Elle pouvait les voir tous les deux, si proches l’un de l’autre et pourtant si différents. Il fallait faire un choix, redescendre et rentrer chez elle ou sauter dans cet inconnu ? Un rêve...
Alice a 18 ans, fille unique, elle vit dans la ferme de ses parents. En dernière année secondaire, comme tout élève, elle doit choisir ses études qui la mèneront à sa vie future. Elle est certaine d'une chose: son talent pour la mode. Elle a évoqué de nombreuses fois à ses parents qu'elle voulait faire de sa passion son métier. Eux, la voient agricultrice afin de les aider à la ferme ; elle sait que se diriger vers les études de stylisme les blesserait. De plus, pour percer dans ce milieu, il faut posséder un réel talent. Déchirée entre deux voies, que va t-elle choisir, celle de son instinct et sa passion ou satisfaire ses parents ? Valentine Absil Cette oeuvre me fait penser à la plage. En effet, je vois un palmier dans les tons de la mer. Derrière, il y a un peu de verdure. Je peux aussi y apercevoir quelques vagues. A la droite et à la gauche du palmier, je vois deux mêmes images. Je remarque qu'il y a une roue et un tuyau. On dirait une voiture accidentée. Il fait très chaud sur la plage. Je ne vois aucune âme. Il y a quelque chose de très lourd dans l'atmosphère. Je sens une odeur de mort, comme si c'était la fin du monde. J'entends le battement des vagues et, des oiseaux crier. Losrque je touche le palmier, les feuilles ressemblent à du plastique et le tronc, à une vieille peau morte. La voiture est remplie de couleurs différentes, ce qui ressemble à un arc-en-ciel. En conclusion, c'est un monde assez spécial! Claire Vlieghe
Il est temps de changer
Nous sommes en 2150, plus précisément en Corée du Sud. Il y a 20 ans, la Corée du Nord a pris le contrôle de la partie sud. Les années de bonheur sont finies à présent. les écoles sont devenues de vraies prisons et ceux qui ont finit l'école doivent travailler dans des endroits horribles. Minseok est un jeune sud-coréen qui lui travaille dans un de ces endroits. Il doit être tous les jours au travail à 6h30 et doit porter un uniforme gris, trop petit et sale. Si il n'arrive pas à l'heure, il est envoyé dans un camp pendant au moins une semaine. Ces camps ressemblent presque peu aux camps dans lesquels vont les personnes pour leur service militaire mais en moins long. Cependant, Minseok commence à en avoir assez des ces conditions de vie et décide donc de s'opposer au gouvernement avec ses quelques collègues qui étaient favorables. Mais arriveront-ils à changer ce mode de vie en sachant qu'ils mettent leur vie en péril? Chiara Boretti « Un bout de ciel nous sépare »
Je peux passer des heures à observer le ciel, en me demandant s’ils y sont. Mon nom est Lily et j’ai 10 ans. Le ciel m’inspire, me fait sourire ou pleurer quand je pense à eux. J’ai perdu mes parents et c’est ma tante qui s’occupe de moi. Bien qu’elle soit gentille, elle n’a rien de ma mère. Je ne me sens pas très bien avec elle, je trouve alors refuge dans les nuages. Dès que je contemple l’horizon, je me demande si d'en haut, ils me « surveillent ». De plus, à chaque fois que passe un avion, je me dis que c’est peut être eux ... Mais c’est peine perdue. Je n’ai aucune certitude de leur mort et je commence à me poser de plus en plus de questions. Ma vie va basculer, je le sens depuis que j’ai découvert cette lettre de mes parents qui m’était adressée : « Cher Lily … … … ne nous en veut pas … … … un bout de ciel nous sépare … … … Nous t’aimons … » Caroline Van Vyve Je rentre dans cette partie du monde de couleurs sombres. Un monde inconnu. Des nuages de fumées noires partout. A des endroits des usines, à d'autres des chaînes de maison. Toutes les mêmes. Les odeurs ne sont pas agréables. Pratiquement pas de verdure. Je rencontre trois personnages. Tous différents. L'un travaille dans des mines. Le deuxième lui dirige une usine et est mieux habillé que l'autre. Celui qui est mineur a des enfants. Des enfants très maigres. Le troisième, lui, habite une tout autre partie de ce monde. Lui, a une belle vie. L'odeur y est très agréable, le cadre verdoyant. Je leur dis au-revoir car déjà je dois repartir. Cliquez ici pour modifier.
L'obscur du ciel
Quand on y pense, le ciel est vraiment quelque chose de magnifique. Je me suis toujours demandé comment c’était d’être là haut. Je me suis endormie avec cette pensée en tête. Lorsque je me suis réveillée, je n’étais plus chez moi. Je n’avais jamais vu cet endroit. Il est rempli de couleurs. Il y a du bleu, rose, violet, toutes ces couleurs mélangées. On dirait un peu le ciel. En fait, je suis peut être là. Je suis couchée sur… je crois que c’est un nuage. Je me lève et j’essaye de marcher. C’est bon, c’est stable. Je continue à marcher et je croise des gens, ils sont tous souriants. Il y a des personnes du monde entier, j’ai entendu au moins cinq langues différentes. Je parle à plusieurs personnes et à chaque fois j’apprends des nouvelles choses sur ce monde. Presque tous m’ont dit des belles choses sur le ciel, sauf une personne, sûrement la seule qui ne m’a pas menti. Je me demande si le ciel d’en haut est aussi beau que le ciel vu d’en bas. Derrière le beau sourire des gens se cache un terrible secret. Valérie Daive |
ÉcrireLe défi est d'écrire à partir d'une oeuvre d'art. Difficile, parfois. |